Les personnes arrêtées ont été remises en liberté, mais restent sous contrôle judiciaire. Sur Telegram, les utilisateurs sonnent déjà le glas de ce groupe qui a réussi à pirater plusieurs géants high tech.
Un bug dans le moteur JavaScript est exploité de manière active par des hackers. Il est recommandé de mettre immédiatement à jour le navigateur.
Ses hacks seraient tellement rapides que les chercheurs en sécurité - qui l’ont pisté - pensaient qu’ils étaient automatisés. Son identification s’est appuyée sur la divulgation d’informations faites par des hackers rivaux.
Ce logiciel malveillant peut verrouiller 17 000 fichiers par minute. C’est dix fois plus que la vitesse de chiffrement moyenne constatée au sein des rançongiciels.
Microsoft et Okta ont confirmé le piratage qui, dans les deux cas, provient de la compromission d’un unique compte d’utilisateur. L’éditeur de Redmond minimise l’impact. Chez Okta, c’est une autre affaire.
Les agences de renseignement américaines ont détecté des activités préparatoires qui laissent présager un passage à l’acte. Plusieurs centaines d’entreprises nord américaines ont d’ores et déjà été briefées.
Un chercheur en sécurité montre qu’il est possible d’imiter à la perfection des fenêtres de connexion aux services en ligne. Et en plus, les techniques utilisées sont plutôt simples.
Le piratage d’Okta pourrait avoir des répercussions sur de multiples grands comptes, clients de ce fournisseur de services d’accès et d’authentification.
Un développeur a intégré une fonction malveillante dans un module JavaScript qui ne se déclenche que sur des ordinateurs russes ou biélorusses. Une idée dangereuse qui provoque d’importants dégâts collatéraux.
Relativement inconnus il y a encore quelques semaines, les membres de ce groupe d'extorsion font trembler les grandes entreprises. Après Nvidia et Samsung, ça a été au tour de Vodafone. Qui sont ces mystérieux hackers ?